Le camarade et poto Abdel Hafed Benotman a cassé sa pipe il y a quelques jours. Cette émission lui est entièrement consacrée. On boit un coup de trop à sa mémoire en lisant quelques-unes des très belles lettres qu'il écrivait à l'émission de radio qu'il a fondé voilà quinze piges. Des mots d'une clairvoyance sidérante, d'une drôlerie acerbe, d'une intelligence farouche. Un homme debout, enfermé ou pas. L'épitaphe qu'il imaginait sur sa tombe ? Libérable.
Ca s'écoute là :
L'Envolée
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